Depuis la nuit des temps, les Asiatiques ont
un rapport privilégié avec le Bambou. Un proverbe vietnamien dit : « Le
Bambou est mon frère ». Dans certains pays, comme la Chine, les habitants
s’identifiaient à celui-ci : il matérialise en effet la flexibilité ou
la constance et l’obstination. Sa tige ploie dans la tempête mais ne se
rompt pas. Ses feuilles tremblent dans le vent mais ne tombent pas.
Le Bambou fléchit, et c’est ainsi qu’il survit et s’impose.
Il reste toujours vert et ne
change pas d’aspect au fil des saisons. C’est pourquoi il est également l’emblème
de l’âge.
Le bambou est tellement présent qu’ont le retrouve dans dans de très nombreux
dessins et rouleaux peint à l’encre de chine. Ces peintures sont
souvent agrémenter de vers très
poétiques. Ils sont rehausser de
symbolisme taoîste et zen.
Le bambou est aussi omniprésent dans la poésie , qui évolua vers le dépouillement
et le symbolisme.
Les sculpteurs ce sont emparer aussi de ce végétal pour le façonner de différentes
manières. Travaille sur les turions pour des sculptures en rond de bosse (
3 dimensions) animaux et symbole
religieux sont des thèmes de prédilection , ou sculpture en bas relief sur des portions de chaumes.
Les sculptures en bas reliefs ci-dessous ont étaient réaliser par moi-même
avec divers outils de sculpture sur bois. Puis cirer avec de la cire d’antiquaire
pour lui donner sa patine et les protéger des attaques du temps.
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